EDITH FARNADI plays Liszt
Liszt: Ballade No 2 in B minor, HS 171, R 16
Liszt: Rhapsodie espagnole, HS 254, R 90
Liszt: La leggierezza, Étude de concert in F minor No 2, HS 144, R 5
Recorded · 02 May 1957 · Stuttgart-Untertürkheim · Krone · Süddeutscher Rundfunk · Radio Studio Recording
Liszt: 6 Grandes études de Paganini, HS 141, R 3b
Recorded · 15 March 1961 · Stuttgart · Villa K · Süddeutscher Rundfunk · Radio Studio Recording
Liszt: Paraphrase de concert sur Rigoletto, HS 434, R 267
Liszt: Einzug der Gäste auf der Wartburg aus Tannhäuser, HS 445, R 278/1
Recorded · 07 May 1968 · Stuttgart · Funkstudio Berg · Süddeutscher Rundfunk · Radio Studio Recording
Article number: MC 1039
UPC barcode: 791154054284
Recording date: 1957 – 1968
Release date: July 2016
Booklet: 8 Pages
Total timing: 71:37
From the Original Masters ∙ © 2016 Meloclassic
October 2016 ∙ MusicWeb International ∙ Edith Farnadi plays Liszt
The present radio studio recordings were set down in Stuttgart between 1957 and 1968, and are all making their first appearance on CD. On this evidence, Farnadi had a formidable technique and met the challenges of this physically demanding music with impressive virtuosity and aplomb. Yet, it is far from superficial technical prowess; she put her astonishing gifts to the service of the music in deeply personal and probing interpretations. Everything here is well recorded, and Meloclassic has provided a comprehensive biographical portrait of the artist. For some of the finest Liszt playing you’re likely to hear, this is a rewarding release.
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June 2017 ∙ French Diapason ∙ Alain Lompech ∙ Edith Farnadi plays Liszt
Edith Farnadi(1921-1973) est de ces grands pianistes que la mort a rappelés si tôt qu’ils sont entrés dans l’Histoire. Et si cette Hongroise a beaucoup enregistré dans les années 1950 et au début de la décennie suivante, il s’est trouvé peu de hérauts pour chanter ses louanges et réaliser le travail nécessaire pour faire vivre son art dans la conscience des mélomanes et de ses confrères. C’est une injustice, car Farnadi s’exprime avec une authentique individualité de ton – sans ego envahissant. La franchise de son jeu n’a d’égale que sa beauté sonore, bien préservée par les prises de radios exhumée dans cet album. A écouter la Ballade no 2 lancée en l’air comme on jette les dés du sort, puis cette Rhapsodie espagnole vive, si vive que plus d’une fois on prend peur – en pure perte, mais que c’est excitant –, ces robustes Etudes d’après Paganini, cette mise en scène incroyable de Rigoletto et la joie conquérante du tableau transcrit par Liszt de Tannhäuser, je me suis demandé s’il n’y avait pas jusque dans ces années-là une génération d’artistes qui était restée connectée à l’esprit du piano de Liszt, à travers des maîtres qui l’avaient entendu ou avaient travaillé avec lui. S’il n’y avait pas une communauté de pensée, un air du temps – autrement plus efficaces qu’une école nationale ou une tradition –, qui laissaient entrevoir la musique de ce compositeur sous un jour moins visiblement intellectuel, plus joueur que cela a pu être le cas plus récemment ?
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